Les banalités générales sur ton petit toi
Surnom : Khysshùmï
Sexe : Femelle !
Défaut : Ne supporte pas qu'on la contredise.
Age : En apparence, environ treize ou quatorze ans. En réalité ? Fabriquée depuis soixante sept ans. Ca fait long u __ u
Orientation sexuelle : Elle ne le sait pas elle même.
Dis-moi, à quoi ressembles-tu?
Brune. Oui, elle est brune. Non. Ses cheveux sont noirs. Comme les plumes d'un corbeau. Tout le monde envi ses longs cheveux. Évidemment, Khysshùmï à la chance d'avoir des cheveux lui tombant au bas des reins. Ils sont pratiquement toujours détachés. Sa frange lui cache ses beaux yeux gris. Des yeux d'anges. Des yeux qui paraissent si innocents quand la jeune doll est calme. Un visage fin et enfantin embellit Khysshùmï.
Ni trop grande ni trop petite, elle est, aux yeux des autres, presque parfaite. En plus de cela, elle n'est ni trop grosse ni trop fine. Le poids idéal. Habillée d'un Gakuran, c'est à dire un uniforme se composant d'une veste à col droit boutonnée de haut en bas et d'une petite jupe plissée. Son uniforme est bleu marine.Khysshùmï porte des chaussures appelées penny loafers (des mocassins à talons larges). Elle a toujours avec elle un sac Easpack noir dans lequel elle range en plus du reste un petit pull sans manches qu'elle à elle même tricoté [ J'ai marqué tricoter Cx ]. Celui ci est beige.
Quelle est ta personnalité?
Aimer... Détester... En soixante sept ans, Khysshùmï n'a jamais compris le sens de ces mots. Elle préfère ne pas les comprendre, car, après avoir observé ses congénères, elle s'est vite aperçu que ces sentiments faisait souffrir. Qu'est ce que c'est que la souffrance ? Un autre sentiment ? Elle n'en sait rien non plus. A croire qu'elle n'a jamais rien éprouvé. Peut être un peu de solitude. Elle n'a jamais rien fait d'autre que marcher le long des rues. Monter dans certains manèges. Redescendre pour recommencer. Sans jamais s'arrêter. Son visage reste neutre. Sans aucun sentiments. Ce n'est que quand elle tue qu'un petit sourire sadique s'affiche sur son visage angélique. 'Détester être contredis. Quelle drôle d'idée.' Entendre ces simple mots la plonge dans un état second. Elle aime ouvrir son sac doucement. Sortir de celui ci une petite dague. Planter sa victime en plein cœur. Centre de tout les sentiments parait-il. Dès que cela est fait, elle reprend son expression neutre. Plongeant sa main dans son sac pour en sortir un mouchoir de tissu à l'origine blanc devenu rosé à force d'essuyer la petite lame ensanglantée. Puis elle re-range le tout. Reprenant le cours de ses activités. [ Ca vous plait ? Cx ]
Raconte-moi une histoire
Soixante-sept ans. Oui. Déjà soixante-sept ans. Je ne me souviens pas de tout. Tout était flou autour de moi. Une salle. Une ombre. J'essayais de l'identifier. Ca y est ! Un ... Clown ! Je secouais la tête. Ce n'était pas possible. Je ne me souvenais de rien. Était-ce ... Ma... Naissance ? Je ne comprenais pas tout les mots prononçai par ce clown. Ce que je savais ? Il était fière de moi. Je regardais autour de moi. Une grande pièce. de toutes les couleurs. Mais une seule et unique petite lampe. Au dessus de moi. Un ampoule suspendu... Juste au dessus de moi ! J'étais désormais assise. Au bord d'une table en fer. Elle était gelée. Je regardais mes pieds. De jolie petite chaussures. De grandes chaussettes blanches, une petite jupe plissée bleue marine. Le clown me parla. Je n'eus pas le temps de m'observer d'avantage.- M'écoutes-tu Khysshùmï ? -
Il n'avait plus l'air aussi fière.- Heu.... Oui. Je... Je vous écoutes. -
Il sourit. Un sourire assez diabolique mais tellement ... Rassurant.- Donc... Je disais. Tu n'aimes pas que l'on te contredise. N'est - ce pas ? -
J'étais ... Déboussolée. - Contredise ? -
Il soupira. Surement désespéré d'une telle innocence. J'observais des photos accrochés aux murs colorés. Des dolls. Plus jolies les unes que les autres. J'étais donc une autre de ses œuvres. Une de plus dans un monde diaboliquement enfantin.- Oui. Quand tu dis quelque chose et qu'une seconde ou plusieurs autres personnes t'affirme le contraire. -
Je comprenais. Effectivement. Je détestais ça. Même si personne ne m'avait encore contredit, je trouvais ça répugnant.- Il est temps que tu te prennes en main ma petite Khysshùmï. -
Il me souleva. Me fit descendre de la table. Je me retrouvais les pieds sur le sol rapidement. Et rapidement, j'étais au milieu d'une grande fête foraine. Entourée de manèges en tout genre. Soixante-sept ans. Soixante-sept ans que le clown m'avait créé. Soixante-sept longues années que je marchais dans les allées. Que je montais dans les manèges. Et... Soixante-sept ans... Qu'une fois par mois environ, je commettais l'irréparable. Un enfant... Qui osé me contredire. Soixante-sept ans que je sortais cette dague puis mon mouchoir à l'origine blanc avec lequel j'essuyais le sang déposé sur ma fine lame. Soixante-sept ans que je tuais. J'aimais ça. Oui. Je n'aimais pas grand choses. Rien à vrai dire. Sauf cela. Cette sensation de libérer une âme qui réapparaitra pour périr de nouveau. Quelle... Joie. [ En plus de ça, je tricote Cx ]
Le Hors-Jeu du petit toi
Pseudo : Khysshùmï
Age : Quinze.
Que pensez-vous du forum? : C'est la classe O.O'
Une idée à donner? : Nah u _ u
Votre disponibilité sur le forum (de 1 à 7, 7 étant le maximum) : 1/4